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S12E01 : Simpson Horor Show XI (Treehouse of Horror XI)
Date de première diffusion : 1 nov. 2000
L’horoscope d’Homer prédit sa mort. Lisa libère un dauphin de Marineland qui bannit les humains vers la mer et contrôle la terre pour son espèce. Enfin, les Simpson se retrouvent dans les contes de Grimm.
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L’épisode en images
Simpson Horror Show XI
P-P-Papa F-F-Fantôme
Qui a découpé ma B.D. ?
Et ma dose de Barbarella ?
Je n’aime pas comment tu la reluques.
Lis plutôt « Cathy ». C’est très drôle.
Non, trop de bla-bla.
Mon horoscope.
« Taureau. Vous allez mourir aujourd’hui. »
Quoi ?
« Un séduisant collègue pourrait vous faire un compliment. »
– Lenny ? – Vous allez mourir ?
Ils sont rarement aussi précis dans les horoscopes.
Je devrais consulter le mien.
« Votre mari va mourir aujourd’hui. »
Ça me fait peur.
Le journal qui fait peur. Horoscope, ne me fais pas mal !
J’ai la trouille…
Je me suis coupé !
Loupé ! Débile, cet horoscope.
Débile, cet horoscope.
Dépible horostope !
Il faut que je te complimente.
Je t’écoute.
Il est magnifique ce serpent à sonnette qui te mord le bras.
Ravissant, mais tu n’as pas peur de mourir ?
Il en aura assez de me mordre d’ici une heure ou deux.
Les serpents, tous des lâcheurs.
Cet horoscope était bidon.
Il ne s’est rien passé à part la pioche, la morsure de serpent et le testicule.
– C’est quoi le dessert ? – Finis d’abord tes brocolis !
Bon, très bien.
– Un autre décès dû à un brocoli. – Je pensais que le brocoli…
Oui. Un des végétaux les plus mortels qui soient.
Son horrible goût devrait nous mettre en garde.
C’est super simple quand ils sont raides comme ça.
Et très triste.
Saint Pierre.
Je suis arrivé au Paradis avant toi, Flanders !
Je ne me réjouirais pas si vite, M. Simpson.
Je ne vois pas une seule bonne action en face de votre nom.
Eh bien, c’est-à-dire que…
Homer, calmez-vous.
Je vous offre une chance d’entrer au paradis.
Vous avez 24 h pour retourner sur Terre et faire une bonne action.
Pendant combien d’heures et combien de bonnes actions ?
Homer, j’arrive pas à croire qu’un bout de brocoli t’ait tué.
Qu’est-ce qui m’a pris de laisser ça ?
Saint Pierre
C’est encore le brocoli.
Il vous reste 23 heures.
Marge Simpson.
Homer ? Je pensais ne jamais te revoir.
Tu as eu tort. Le tort tue.
– T’es obligé de parler comme ça ? – Non, pas vraiment.
Aide-moi. Je dois faire une bonne action pour aller au paradis.
J’ai une liste de tâches à faire.
Ranger le garage, repeindre la maison, remplacer…
Je veux juste entrer au paradis. Pas remplacer Jésus.
Bon. Une bonne action…
En voilà une !
La voilà notre bonne action.
Non, c’est pour moi.
Seigneur.
Qu’est-ce qu’il m’arrive ? Tout le monde va voir mes dessous !
Gigotez pas comme ça !
Je suis sûr qu’elle serait devenue le prochain Hitler.
C’était ma bonne action !
Voyons voir. Une bonne action.
Il faut que j’en trouve une.
Ton père est mort Le mien est en taule
Nelson.
Qui a dit ça ?
– Je suis le fantôme de… – Je t’ai eu !
Bart, au secours !
Il ne me reste plus qu’une minute.
Je vais bien trouver une bonne action.
Allez, réfléchis !
Mon bébé !
Faites-le taire !
Tu sais que t’es énervant ?
C’est un miracle. Merci mon Dieu !
Vous avez vu ? J’ai fait une bonne action. Ouvrez !
Désolé. Je n’ai pas vu.
Je croyais que vous pouviez tout voir.
– Non, ça c’est le père Noël. – Que le diable m’emporte !
J’en ai bien peur, en effet.
Je suis Homer Simpson.
Silence, pécheur !
Prépare-toi à souffrir pour l’éternité !
Silence !
Tu vas réveiller John Wayne.
C’est déjà fait.
Je n’aime pas te voir regarder le feu.
C’est trop violent.
T’as loupé le meilleur ! Lâche ce stupide livre !
Les Contes de Grimm
Ça me permet de m’échapper de notre pauvre vie.
C’est pas si mal.
Je venais juste de guérir de la peste.
Bonjour, femme. Bonjour, mes enfants.
Qui veut danser la gigue ?
Je n’ai pas du tout de raison de danser.
– J’ai perdu mon job de gros lourdaud. – Quoi ?
Pourquoi c’est toujours les lourdauds qu’on vire en premier ?
– Tu pourrais être un cancre ? – Tu crois ?
Qu’est-ce que ça donne ? Vous trouvez ça bien ?
Non, je peux pas être cancre.
Je suis né lourdaud, je mourrai lourdaud.
Mais, sans ton maigre salaire, comment va-t-on nourrir nos enfants ?
Aucun enfant ne mourra de faim chez moi.
La Forêt Très Très Sombre
Adieu les enfants.
C’est votre nouveau foyer !
Passez le bonjour à vos frères et surs !
Nos frères et surs ?
Ce ne sont pas de bons parents.
Un lutin se cache sous le pont !
J’ai vu tout ça dans un de mes contes de fée.
On va pouvoir anticiper.
J’en ai trop fait, une fois encore.
Je me sens tellement seul.
Y a quelqu’un ? On est de gentils petits orphelins.
Des bols de flocons d’avoine !
Ça me rappelle quelque chose.
Voyons voir.
C’est trop chaud !
Trop froid.
Facile d’y remédier.
C’est la maison des trois ours.
– On a eu chaud ! – Je me demande où était Boucle d’or.
J’ai dormi comme un loir.
Punaise, larguer ses gosses dans la forêt, ça salit.
Quoi ? Tu as largué nos petits trésors dans les bois ?
On aurait pu les vendre.
2 POULETS À DÉBATTRE
– Retourne les chercher. – J’ai une meilleure idée.
Je sais comment on peut les remplacer.
Les enfants ? Je suis vraiment désolé.
Preux chevalier, je vous en supplie, sauvez-moi !
Attendez.
Une maison en pain d’épice !
Entrez donc, mes petits. Les meilleures sucreries sont à l’intérieur.
Attends, je vérifie dans le livre.
Elle a l’air sympa.
– Je pense qu’on peut lui faire confiance. – Tu as sûrement raison.
Plus vite que ça ! C’est bientôt l’heure de ta raclée !
C’est terrible !
Terriblement délicieux.
Elle t’engraisse pour pouvoir te manger.
Qu’est-ce que ça peut faire ?
Arrête de t’arroser comme un rôti.
Arrête de jacasser ! Cette maison est loin d’être propre !
C’est pas comme si vous aviez des amis.
J’ai un petit ami.
– Bien sûr. – C’est ça.
– C’est vrai ! – Ah, oui ?
– Comment il s’appelle ? – George.
– Chaudron. – George Chaudron ?
Il peut peut-être me présenter à Ed Lalouche.
Ça suffit ! Toi, tu vas dans le four !
Quoi ?
Des murs en sucre.
Je savais que tu viendrais nous sauver.
Vous sauver en me gavant de sucrerie. C’est tout bon.
C’était du sucre d’orge pour soutenir le toit, gros lourdaud !
C’est tout ce que tu peux faire, hein ?
Du poisson.
Ah, non, c’est moi.
Sortez-moi de là !
Une petite minute.
Mon Dieu, non !
Sortez-moi de là !
Je souffre le martyr !
Bonjour. Je suis George Chaudron. Suzanne est prête ?
Presque. Il lui faut encore 20 petites minutes.
Mais le concert est à 20 h.
On est toujours pauvres.
Mais grâce à votre père, on n’aura plus jamais faim.
– D’ailleurs, j’en reprendrais bien un peu. – Ça arrive.
La Fin
CE N’EST PLUS ÉDUCATIF !
La nuit du dauphin
Je vous demande d’applaudir Snorky.
Bravo Snorky !
Il nous faut un volontaire pour jouer avec Snorky.
Levez la main si vous souhaitez…
On chauffe le bassin des homards,
alors dépêchez-vous si vous voulez jouer avec eux avant de les manger.
C’est bon. Ils sont partis. Tu peux… Mais où tu vas ?
Tu veux retrouver tes amis.
RÉSERVÉ AU PERSONNEL (DAUPHINS INTERDITS)
Il s’échappe ! Tuez-le !
Vas-y. Nage vers la liberté. Pars !
Vous voilà enfin libre, majesté !
Ils m’ont fait faire des tours, comme un vulgaire phoque !
Pourrez-vous l’oublier ?
Non. J’ai un plan secret.
(chuchotements inaudibles)
De l’alcool et un bain de minuit. Il n’y a rien de mieux.
Des requins ! Les tueurs de la mer.
Mais vous n’êtes pas des requins. Mais des dauphins, les clowns de la mer.
Mais à quoi vous jouez là ?
Bleus dus à des coups de museau et de queue, empreintes de nageoires.
C’est l’uvre de jeunes voyous.
On annule le bal de fin d’année.
Ça commence. Les dauphins nous attaquent.
Seul un vieux loup de mer sait comment arrêter le…
Je suis le capitaine de la mer !
Compagnie ! Sur la queue !
C’est un piège, ils ont des filets.
Deux milkshakes, un beignet burger
et un flan extra-large.
Oui, je veux des frites avec.
Tout est bon pour ne pas bosser.
À la une de ce journal, les dauphins tueurs.
Les dauphins tueurs ?
La récente vague de meurtres…
SAUVEZ-MOI !
Je crois que j’ai dit les dauphins tueurs, je voulais dire les italiens tueurs.
Gris, le museau allongé, les italiens sont intelligents.
Les Italiens, intelligents ? Y a un truc qui cloche.
C’est les dauphins. Il faut les arrêter.
Si nous parlons à voix basse, je ne crois pas qu’ils puissent…
Ils ont l’air de vouloir tout détruire.
Il faut prévenir Grand-père.
Ça sonne occupé. Tout va bien.
Je m’en vais te filer un direct au foie !
MAIRIE
Un peu de silence !
On est tous effrayés et excités.
Nous ne laisserons pas des dauphins nous empêcher de vivre notre sexualité.
Ça peut pas attendre ?
Vous voulez des traces ?
Si vous m’interrompez, vous allez en avoir !
Mon Dieu !
– Il s’approche du micro. – Ça parle pas, un dauphin.
Snorky parler humain.
Pardon, je reprends.
En des temps reculés, les dauphins vivaient sur terre.
– Il a dit quoi ? – Les dauphins vivaient sur terre.
Quoi ?
Puis vos ancêtres nous ont jetés à la mer,
où nous avons souffert pendant des années.
Mais vous semblez si heureux dans l’océan.
Vous faites tant de bonds.
Pour essayer d’en sortir ! Il y fait si froid.
– Des maux de gorge journaliers. – Sans compter les déchets qu’on y jette.
– C’était toi ? – Oui, c’était elle.
Elle vous a fait du mal, prenez-la !
Moi, roi Snorky, je condamne tous les humains à l’exil dans l’océan.
– Qu’ils sont envahissants ! – Je n’aime pas ça.
J’ai perdu le fil. Où on va, là ?
Attendez.
On est plus malins qu’eux.
On a inventé l’ordinateur, les guêtres, les pailles articulées,
les crevettes dépecées, la mousse au chocolat.
Je ne me laisserai pas impressionner
par des mangeurs de thon qui font des bonds.
Ça fait beaucoup de dauphins.
Non, le pauvre.
Voilà.
– Sale… – Laisse ma fille tranquille !
Courage, humains.
On a déjà exterminé des espèces dans le passé. On peut le refaire.
Au secours !
Si je pouvais… Ce n’est pas… Vous me faites mal !
Allez, les gars. On va les renvoyer dans l’océan.
On peut bien accorder ça aux dauphins.
Ils en voulaient plus que nous.
Je regrette d’avoir libéré leur chef. Ça a condamné l’humanité.
Je ne dirais pas qu’on est condamnés.
Il y aura une période d’adaptation, c’est sûr, mais…
LA FIN ?
Tu te rends compte ?
Ils nous ont pas mis dans l’épisode d’Halloween.
Tu es sur que le spatiophone fonctionne correctement ?
Raccroche ! Peut-être qu’ils essaient de nous joindre.
Je savais qu’on aurait dû leur envoyer un panier de biscuits.
Kang et Kodos production ?
Oui, un instant.
Tu veux faire de la pub pour un truc qui s’appelle Petit bateau ?
C’est toujours du boulot.