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S14E01 : Simpson Horror Show XIII (Treehouse of Horror XIII)
Date de première diffusion : 3 nov. 2002
Dans cet épisode en trois parties, Springfield fait face à une horde affamée d’Homer , la ville interdit les armes à feu et enfin, les habitants de Springfield deviennent mi-humains / mi-animaux monstrueux.
Voir un extrait de l’épisode
L’épisode en images
Je ne sais pas chers voisins.
Je veux bien fêter Halloween,
mais le spiritisme n’est pas très indiqué pour des mineurs.
Mais c’est l’occasion de parler avec votre épouse Maude.
C’est vrai que ma femme me manque
Maude Flanders…
Nous, les vivants te supplions de te manifester.
Ned,
je suis revenue,
embrasse-moi.
Cool les mecs,
c’est moi, Bart Simpson.
Quoi, mais qu’est-ce que vous regardez ?
Maude, tu es aussi belle que le jour où je t’ai enterré.
Etes-vous prêts à suivre des histoires qui réduiront vos os en poussière
et feront bouillir votre sang ?
Ben c’est clair.
Alors, cramponnez-vous !
The Simpsons Season 14 (01)
« Simpsons Horror Show XIII »
« Envoyez les clones ! »
C’est parti pour mon activité farniente loin de ma pitite famille.
Je t’ai noté une liste de choses à faire aujourd’hui.
La troisième est ma préférée : « Répondre aux invitations du mariage »
Je voudrais bien,
mais je sais pas qui que c’est qui m’a préparé une montagne de crêpes
parce qu’il faut que je les digère maintenant.
Oh non !
C’était pour la kermesse de charité.
Et où qu’elles sont ?
Hamac, demandez votre hamac.
Le marchand de hamacs ?
Coup de pot,
il est en avance ce matin.
C’est 10$ pièce.
Je tiens à vous mettre en garde.
Ce ne sont pas des hamacs ordinaires.
Ils sont fabriqués avec une toile confortable et maléfique.
Va pour le confort.
Mon pitit hamac,
je te présente mon postérieur.
Qu’est-ce que…
Il a fait un autre moi ?
Ouh c’est cool ça !
Ouh !
Il a pas de nombril.
Popol est en place.
Tu veux être mon esclave ?
oui…
C’est sensas’ !
Remue-toi l’affreux.
Il a eu une belle vie.
J’ai besoin d’un coup de main.
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Bière pour moi.
Non t’as encore du boulot.
Boulot ?
Avoir besoin clone.
Un clone ?
Ca va pas la tête ?
Où tu veux que je trouve un…
Attends voir un peu…
Ca fait quatre moi.
Il y a comme quelque chose de magique dans ce hamac.
J’ai idée que j’ai pit-être la solution à mes problèmes.
Qu’est-ce que tu en dis,
ça souligne pas trop mes hanches ?
Robe jolie,
belles fesses.
Oh, tu es un amour.
Ensuite après la deuxième guerre c’était plutôt calme,
jusqu’à ce que Superman lance un défi à Roosevelt :
une course autour du monde.
Roosevelt l’a devancé de 100 mètres…
dans la BD c’est très contesté.
La vérité faut la chercher entre le mensonge et…
Moi bon papa.
Il ne te semble pas plus…
abruti que d’habitude ?
Pas remarqué.
Homer, tu as été vraiment adorable aujourd’hui.
T’irais pas dans la chambre pour…
C’est bon,
je prends la relève, l’affreux.
Non non.
Espèce de sale pitit…
Pinaise, on a la même force.
Moi d’accord.
Il faudrait 3 clones pour battre le vrai Homer.
Euh, je veux dire 4.
Andouilles !
Les enfants,
Votre père a préparé le petit déjeuner.
Ouais !
Dégagez, dégagez !
Dis-moi Homer,
Je me demandais si tu pouvais me prêter la tronçonneuse que tu…
m’as volé ?
Ok d’ac !
mais laisse-moi une carte de crédit.
Pas de problèmes.
« Disco », ça te va ?
Ned…
D’accord, voilà l’American Express.
J’ai l’impression que tu as l’énergie de 20 hommes ces derniers temps.
De 23 !
Je vais tondre la pelouse,
répondre aux impôts,
jouer avec Bart,
et faire des trucs de fille avec Lisa.
Je dois me débarrasser d’eux.
Bon avant de vous abandonner ici,
quelqu’un connaît le chemin de la maison ?
Moi.
Y’en a pas un autre ?
Y’en a pas un autre ? Allez…
Bon, terminus.
Et pour m’assurer que personne ne connaîtra d’ennuis avec ce hamac…
Et si on allait tous boire un énorme milkshake au chocolat ?
Regardez-moi ce maïs.
Le vieux Gil va être enfin récompensé de ses efforts.
Du moment qu’il me reste la santé.
Bière, bière, bière, bière…
Pipi, pipi, pipi, pipi…
Ah ouais…
Comme les cafés-théatre à la fin des années 80,
les clones poussent comme des champignons.
Ils ont détruit tous les édifices de la ville,
si on excepte le bar de Moe dont les affaires sont florissantes.
Bon, qui est-ce qui paye la douloureuse ?
Lenny.
On refuse rien aux Homers.
Papa,
tu n’as rien à nous dire à propos de cette invasion ?
T’aimerais, hein ?
Ben non.
Ils te ressemblent,
ils détestent Patty et Selma,
et les gens ont remarqué que cette bande était très bavarde.
Ouais, c’est un bon groupe.
Actuellement les Viet-Kong…
je veux dire les Homers,
occupent ces zones.
On peut craindre que demain…
Mon Dieu !
On est foutu !
Noon !
Il reste plus de donuts !
J’ai trouvé !
Je sais ce que nous devons faire maintenant.
Dieu soit loué !
Et vous disiez que les petites filles n’avaient rien à faire ici.
Bon j’ai eu tort, d’accord ?
Mmm…
Donuts…
D’OH !
Merci mon général.
C’est un grand soulagement.
Ils sont tous morts, tes clones.
Il en reste une poignée qui agonise dans la douleur,
mais ils seront morts demain.
Tant mieux.
Un seul gentil petit mari,
c’est tout ce dont j’ai besoin.
T’as pas de nombril !
T’es un clone !?
Où est le vrai Homer ?
Le premier dans le ravin.
Oh, mon Homer est mort.
Comment vivre sans lui ?
Un petit massage ?
Ma foi…
« Le Droit de porter une arme »
« L’effroi d’avoir à verser les armes »
Goldie, tu étais plus qu’un simple poisson rouge.
Tu faisais partie de notre famille.
Repose en paix, mon pote.
William H. Bonney,
abattu le 14 juillet 1881 à l’âge de 21 ans.
Si jeune !
« Je rêve d’un monde sans armes ».
Et nous donc, William ?
Lisa a un petit ami maccabé !
Ce n’est pas mon petit ami maccabé,
c’est un garçon mort que j’aurais aimé avoir comme ami.
Monsieur Bonney,
je ferai en sorte que votre voeu soit exaucé.
Si il n’y avait pas eu d’armes,
ce pauvre William Bonney serait peut-être devenu médecin,
ou sénateur.
Ou un écrivain frustré.
Bien sûr…
Ce que je veux dire c’est qu’il faut arrêter la folie meurtrière
et bannir toutes les armes.
Ouais !
La petite a raison !
Excusez-moi,
je ne peux pas vivre sans passions.
Tiens tiens,
tu joues moins les durs sans ton flingue,
hein le Serpent ?
Si tu les joues.
c’est ce que j’aime dans ce métier,
on est surpris.
28…
29…
Il en manque un.
Pas monsieur Flingo…
Ca va aller mon vieux,
tu vas pouvoir canarder des anges au paradis.
Bon, c’est à notre tour.
Ca donne le sentiment d’être un homme, vous savez.
Maintenant tout ce qu’il me reste, c’est mon gros zizi.
Un triple ban pour notre ville débarrassée des armes.
Les armes récupérées à Springfield
ont été transformées en balançoire-mitraillettes et toboggans.
Ca me chatouille les fesses les secousses.
Je suis fier de vous annoncer
que notre ville est totalement sans défense.
Si seulement ce pauvre William Bonney pouvait voir que son rêve est devenu réalité.
Oh mais je vois…
William Bonney !
Plus connu sous le nom de Billy le Kid.
Apparemment,
les seules armes restantes sont entre mes vieilles mains mortes et glacées.
Et maintenant j’aimerais vous présenter « la bande du fond du trou ».
Frank et Jessie James,
le Sundance Kid.
Où est passé Butch Cassidy ?
Où est passé Butch Cassidy ?
On est pas des siamois que je sache !
Et l’allemand le plus diabolique de tous les temps,
le Kaiser Guillaume !
C’est pas un cowboy.
Bien sûr que si !
Ok, ça va.
Maintenant on va braquer une banque,
filer le fric à des pauvres,
après on volera les pauvres,
et on tirera sur le fric.
Assis-toi et joue.
Je t’ai demandé de jouer,
pas de nous endormir.
Toi,
fais marcher l’archet.
Toi,
chante une chanson sur les voleurs de bétail
et toi une chanson sur les…
attaques de banque.
« La vache est dans le près,
tu t’approches doucement.
Tire-lui sa queue
et pars en courant.
T’entres dans la banque,
tu fauches l’argent.
Ne tuez pas notre famille. »
Marge,
laisse-moi faire un solo.
Qui sait,
c’est pit-être la chance de ma vie.
Alors là,
permets-moi d’en douter, Homer.
Ce sont d’horribles zombies venus du passé.
Ouais,
comme les jurés des grammys.
Désolé de vous interrompre,
mais j’ai mis au point une invention qui pourrait tous nous sauver :
une machine à remonter le temps.
Retournons dans le passé récupérer nos armes.
Donnes-moi ça.
Par la sainte trigonométrie,
j’espère qu’il ne va pas altérer le continuum spacio-temporel.
C’est tout ce que je…
Oh non !
Le pauvre William Bonney aurait pu devenir médecin ou sénateur.
Ecoutez-moi hommes et femmes du passé.
Eh vous entendez ?
C’est nous.
Je viens vous livrer un terrifiant message d’espoir.
Prenez vos armes et suivez-moi.
Papa mais enfin, qu’est-ce que tu fais ?
Comment expliquer ça à un enfant ?
Ton papa du futur est venu pour tuer une deuxième fois ces cadavres.
Comme ça ils ne reviendront plus en zombie et…
Tuez-le !
Une autre tragédie évitée gràce à la violence des armes.
Il faut croire que les armes étaient la solution.
Ecoutez-moi citoyens de Springfield.
Je viens à nouveau d’un autre avenir lointain,
où la violence des armes a détruit toute forme de vie sur notre planète.
C’est quoi ?
un voyage à travers le temps ?
Bon, ben
à moi les prostituées des cavernes.
« L’île du docteur Hibbert »
Rappelez-moi encore pourquoi on passe nos vacances sur l’île des âmes mortes ?
Quoi de plus marrant qu’une île à la forme d’une bouille avec un grand sourire ?
Soyez les bienvenus sur mon île.
Docteur Hibbert ?
On nous avait dit que vous étiez fou.
Oui, complètement fou…
de mon île,
où je propose des vacances inédites.
Willie, occupez-vous des bagages.
Il va sûrement essayer de vous lécher les pieds.
Il sera pas déçu du voyage.
Homer, j’ai l’impression que quelqu’un a des ennuis.
Cool, je suis en vacances.
Docteur Hibbert, vous avez là un splendide lieu de villégiature.
Qu’offre-t-il comme activités ?
Eh bien une activité qui devrait vous plaire.
C’est de ne pas poser de questions.
La curiosité naturelle de l’homme est ce qui le différencie de l’animal.
Pourquoi devrait-il se différencier, bon sang ?
Songez à ce que Shakespeare aurait fait
s’il avait eu les yeux de l’aigle
ou le jet puant du putois pour ses critiques ?
Si nous goûtions la dinde ?
Sa chair est savante…
Je veux dire savoureuse.
Attendez, pas si vite,
un instant.
Vous savez quoi ?
Je meurs !
le croupion à l’air,
et le gésier remplit d’une farce aux marrons…
C’est la fin.
Homer, je trouve qu’il se passe des choses inquiétantes ici.
Ils vont nous refourger un truc aux multi-propriétés ?
Je vais aller fouiner aux alentours.
Rapporte-moi des glaçons.
« Maison de la souffrance ».
C’est sûrement là qu’on paie sa note
Y’a jamais personne dans les environs quand je dis un truc drôle.
Mais je suis là.
Qu’est-ce qui se passe chérie ?
Tu veux faire un câlin ?
Ouh, une vraie panthère !
Doucement, doucement.
Ca devait faire un bout de temps.
Ca chatouille pas, ça fait mal.
Silence, à côté !
Faire l’amour en vacances,
y’a rien de mieux.
Marge, t’étais comme un animal sauvage.
T’étais vachement vorace,
et tu m’avais jamais fait des trucs comme ça avec ton ongles.
Ouh pinaise !
C’est devenu un monstre.
Je dois dire que j’avais des doutes quand on a fait l’amour.
Il faut que je trouve un moyen de transformer Marge,
et de remplacer les M&Ms que j’ai pris au mini-bar.
Eh, Homer.
Flanders ?
Ohh…
De merveilleuses vacances foutues en l’air.
Ca me gène de te le demander mais…
est-ce que tu pourrais me rendre un petit service ?
Tu peux me traire ?
J’ai pas vraiment envie de faire ça, Ned.
Voyons Homer,
tout ce que je te demande,
c’est de tirer sur mes pis et de recueillir mon lait.
D’accord.
Oh…
C’est agréable.
Tu peux te montrer gentil quand tu veux.
Tu m’aides pas beaucoup.
« Dans la jungle,
terrible jungle,
Homer monte sur un monstre… »
Chut !
C’est quoi ça ?
Je suis un chien.
Ecoutez mes hideux camarades.
J’ai remarqué que certains d’entre vous
portent encore des pantalons en lambeaux.
Alors je vous en prie,
jetez-les au feu,
et acceptez votre nature animale.
D’accord mais je tiens à conserver mon gilet.
Je tiens pas à perdre toute dignité.
Oh des ordures !
Oh, un ongle d’orteil.
C’est pas possible !
Hibbert a changé notre cuisto rital en cochon d’ Inde.
Je préfère qu’on dise cochon indo-italien.
Eh p’pa, regarde ça…
« Va te faire shampouiner »
« Va te faire… »
« Shampouiner »!!
Espèce de sale pitit…
Maggie
Lisa !
On jouait à un jeu.
Quel jeu ?
« Croque Maggie ».
Oh…
Animal-hommes,
invertimbrés,
vous devez combattre celui qui a fait de vous des monstres.
Ah oui,
le dieu mi-homme mi-gorille possède la vérité.
Je reconnais avoir fait quelques erreurs,
mais je les ai faîtes au nom du progrès.
Oui, bravo.
C’est monsieur Burns.
Plus renard que jamais.
Réfléchissez mes chers petits monstres.
N’êtes-vous pas plus heureux que quand vous étiez des hommes ?
Me gusto pollen.
Musaraigne Stu est toujours roi du disco.
Vous êtes tous cinglés ?
Tout ce que vous faîtes c’est manger,
dormir,
vous accoupler,
et vous rouler dans vos propres déjections.
Et vous accoupler…
manger…
Où c’est qu’on signe ?
Alors, qu’est-ce que ça te fait d’être un morse papa ?
C’est génial.
Je suis aussi mince que quand j’étais au collège.
Homer,
tu m’avais promis que tu me gratterais le dos.
Regarde cette île.
Elle a la forme de notre numéro 4.
Ca donne à réfléchir.